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Messages - corail34

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Débuter / Re : du bon usage de la PWM...
« le: octobre 29, 2020, 08:54:26 pm »
Je vais essayer de contribuer:

- Quel moteur ?  avec/sans balais; Nbre de pôles; ..
       Ce moteur réagira différemment selon une alimentation 'continue-pure' ou pulsée (PWM),

- Couple moteur: le comportement des moteurs bas en gamme est nettement amélioré par un PWM à tension crête élevée.

- PWM: pour mesurer la fcem, le ratio 100% n'est pas atteint   (sinon, ce devient une continue pure)
            si le ratio est à 80%, ce n'est plus du 12V  (stations sont alimentée en 18v ?)
            la tension moyenne est celle du créneau PWM (le couple est lié à la tension-crête)

- en fonctionnement analogique, une alim moteur via deux transistors (plutôt darlington) déplace la droite de charge et bride le moteur,
      en déplaçant peu la tension de 'décollage': cela permet d'utiliser la même commande (sur mon réseau, c'est un plot par Volt avec inverseur,
     chaque plot est alimenté par une prise sur le secondaire d'un transfo 1KW (la tension ne s'écroule pas avec la charge) et cela fonctionne ainsi
      depuis 1962 !
- en fonctionnement numérique .. la vitesse sera déterminée par la tension moyenne découpée par le décodeur.
      ton intérêt est de conserver la tension crête (disposer du couple au décollage) et donc ... de ne pas utiliser tous 'tes' crans.

FCEM:
      Moteur à balais: elle est générée par le moteur .. selon son régime de rotation .. indépendamment de sa tension d'alimentation,
      Moteur brushless: c'est plus complexe selon la technologie .. certains utilisent les enroulements non utilisés
            Ces moteurs, comme un moteur synchrone, tournent à la même vitesse que le système de tensions qui l’alimente.
            Tant que le couple moteur est > à la charge, la rotation du rotor est synchronisée avec le champ magnétique.
            Que le couple résistant devienne > au couple moteur, et que la tension d’alimentation ne soit pas ajustée en conséquence: c'est le  décrochage:
                    le rotor ne suit plus le champ magnétique (avec risque de destruction du moteur)
             C'est le même contexte lors du 'décollage' de la loco.
             Le système d'asservissement interne au moteur assure ces fonctionnements en couple moteur < à la charge:
                      - la fréquence des tensions d'alimentation est basse au départ, puis augmente progressivement en tenant compte de la réaction du moteur,
                      - en diminuant la tension PWM d'alimentation  tu ne facilite pas la tâche de la régulation
                            et  tu augmentes le courant en circulation dans l'électronique de commande interne au moteur.

               Le décodeur embarqué dans la loco apporte le carburant nécessaire à la rotation.

Excuse-moi, j'ai essayé de faire simple en posant des passerelles pour partager.


       

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Vos projets / Re : Jouer ....
« le: août 12, 2020, 01:15:18 pm »
Reçu à l'instant trois Arduino Uno.

Ma liste des tâches .. :

      - Démarrer en électronique    => https://www.locoduino.org/spip.php?article186#forum2130   en cours

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Trucs & astuces / Re : DC_DCC_ALIMENTATION
« le: août 11, 2020, 05:31:20 pm »
Merci pour le crayon ...., j'avais essayé avec .. le crayon inférieur !

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Vos projets / Re : Jouer ....
« le: août 11, 2020, 03:29:26 pm »
Bonjour Tony    et merci pour cet aiguillage vers ta solution "souris".

Elle est très séduisante.

A l'instant .. je suis saturé (et comme une éponge saturée .. plus rien n'entre).

Je bricole beaucoup .. depuis toujours.
En 91, bande radioamateur, j'avais construit un émetteur TV N&B, puis deux émetteurs couleur .. puis des équipements, des appareils de mesures .. et récemment ai entrepris du 24GHz (mais pas en brouillage de radar routier).
En mécanique auto ... depuis 2006 un site orienté technique: https://www.mercedes-anciennes.fr/forummb/index.php
=> Disons que je suis toujours resté dans la couche 1 OSI   et  le langage de programmation me rebute.

Pour ne pas me noyer, j'ai éditer une liste de topic locoduino afin d'essayer d'aller du simple au compliqué sans me décourager. :o

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Vos projets / Re : Jouer ....
« le: août 11, 2020, 01:55:40 pm »
MERCI bien ... je ne m'attendais pas à tant de débit.

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Vos projets / Jouer ....
« le: août 11, 2020, 10:57:28 am »
Bonjour,

Le virus de "Jouer avec du train" me fut inoculé par un paternel 'technique' dès 6ans.
Cela me resta.

En 2000, fut acquis ce qui sera mon avant-dernière demeure .. disposant d'une annexe de 8mx2m80.
La construction du plateau fut mené de pair avec le déballage du matériel .. acquis au cours des dix derniers lustres sur 'coup de cœur': premier effroi ... plus de 150 locomotives  :-[
En 2000, l'option numérique fut promptement écartée: coût mais surtout pléthore de systèmes & incompatibilité de beaucoup de matériel.

2020: étape électrification.
La solution analogique apparait plus lourde encore (gestion des interconnexions), bien des incompatibilité sont tombées (flasques de moteur Fleischmann par ex.), plastique & kapton solutionnant les cas ultimes.

Question:  Combien de motrices une centrale peut-elle gérer "avec confort" ?
       Confort = temps de réaction entre commande et exécution.

En exploitation il pourra y avoir une quinzaine de motrices à gérer (réparties en 5 circuits) dont la moitié en "attente"
       Attente = motrice en arrêt 'sémaphore": quai (gare) ou voie cachée (pour éviter de voir une rame tourner en rond), navette (du va & vient)


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Présentez vous ! / Re : corail34
« le: août 11, 2020, 07:58:10 am »
Tout à fait .. ne pas précipiter: à l'état actuel rien n'a été commis.
Tout le réseau (peut être 150m de voie) est alimenté par une seule tension cc: aucun section de coupure.
Pour essais, la circulation en sens inverse fut obtenue en inversant l'alimentation des moteurs.

La question actuelle (que je vais chercher à poser au bon endroit) serait de connaitre le Nbre de locos prises en charge simultanément par une centrale.
Pas tellement le Nbre Max mais le Nbre compatible avec une exploitation fluide càd en tenant compte des temps de transmission: ce serait dommage qu'une loco mette 5 ou 10s à réagir.
La présence de 4 voies cachées en tiroirs FIFO charge cette centrale.

Eventuellement, il serait possible de distribuer sur deux centrales identiques la paire de circuits 'rapides' & la paire de circuit 'fret'.

Parmi les 'bonnes' surprises, j'ai vu qu'il est devenu possible d'automatiser les démarrages/arrêts progressifs, les fonctionnements en navette.


Le réseau est essentiellement fait pour "jouer" => les voies occupent beaucoup d'espace ... au point que, pour l'économiser, la grande gare (Jouef) avec verrière à été sciée en deux (dans sa largeur!) .. plus tard le mur peint en perspective la complétera.
J'ai essayé de créer un tri gravitaire ... même en trichant sur la bosse (loco crémaillère), mais tous les essais ont été désastreux.

Moteur 3 pôles:
L'inertie du rotor devrait influer ?: un 3 pôles annulaire Fleischmann se comporterait-il mieux que le tournebroche Jouef ?
Le tournebroche est facilement remplacé par un petit moteur de vibreur (ancien téléphone par exemple) .. fut un temps cela se vendait en lot de 10.

Décodeurs LAIS:
Je ne les connais que par une recherche de 'coût' et la lecture de leur manuel d'utilisation.
"Aimer bien"  est rassrant   merci.

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Trucs & astuces / Re : DC_DCC_ALIMENTATION
« le: août 10, 2020, 06:55:54 pm »
Euhhh comment peut-on modifier son message pour 'gommer' ses fôtes d'ortograf   ?

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Trucs & astuces / Re : DC_DCC_ALIMENTATION
« le: août 10, 2020, 06:53:33 pm »
Bonjour à tous
J'ai une question qui me taraude depuis des lustres (je n'ai pas trouvé de réponse)
Un décodeur DCC ne chauffe pas ou peu, pourtant l'alimentation se fait via les rails en 15 ou 18 volts (alternatif?) puis redresser par un pont de diode.
Si l'on veut créer une interface  avec pont de diodes et régulateur (x volts) celui-ci chauffe même avec l'ajout d'un radiateur.
Les décodeurs utilisent, comme les boosters, des ponts en H. Ceux-ci commutent en tout ou rien, et comme P=U x I, en première approximation, à chaque instant soit U=0, soit I=0, donc P=0.
Bien que la question soit ancienne, l'on peut préciser:
- l'échauffement est la traduction de ce P=UI      = Rien de neuf sous le soleil
      mais jamais U=0 ou I=0 ... c'est justement ce qui produit notre échauffement (ce P=UI)

- ce qui est nouveau est la technique:
      * le transistor passe TRES rapidement du niveau Bas au niveau Haut => c'est un très grand progrès et c'est surtout le fait de MosFet.
            le classique transistor NPN (2N3055)  est à la traine face à un IRF530 par exemple.
      * un régulateur LM317 (par exemple) est un régulateur série => il 'rabote' la tension et dissipe en chaleur son P=UI
            Un hacheur découpe la tension en tranche: une découpe à 50% donnera une tension moyenne de 50%
                  - découper avec un 2N3055 produira de la chaleur ... moins qu'un régulateur 'série'
                  - découper avec un IRF530 qui commute très rapidement produit encore moins de chaleur.
     * Un Pb arrive: ces brutales et rapides commutation génèrent des harmoniques qui sont d'efficaces brouilleurs: il faut blinder/filtrer.

Ainsi, une alimentation secteur (type Lambda) actuelle arrive à 97% de rendement en redressant directement le secteur.
     Une telle alim de 1KW restituera 970W pour 1000 consommés, tient dans un coffret de 22x12x33cm et pèse peu.
     La même alim en 1980 est portée sur un chariot: masse du transfo, du radiateur, ... et elle chauffe !
     Transposé à un décodeur de 10W .. 97% amène une dissipation de 0,3W  .. à peine plus qu'une résistance quart de Watt.

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Présentez vous ! / corail34
« le: août 10, 2020, 01:30:24 pm »
Bonsoir,

Me voici, en recherche d'un pilote pour mes motrices.

Vieux ferrovipathe HO      (depuis presque 60a), multicarte (> 15 constructeurs, d'Antal à VB)
Jeune aussi                nouveau en CDI (Congé à Durée Indéterminé),
avec beaucoup de matériels accumulés à différentes époques: le champignon '80' s'est imposé ... et encore: les essieux des 'vieux' sont à rectifier.



Le plateau du réseau est porté par deux paires d'IPN rallongés à 8m     (pas facile à souder) .. mais quel pied .. sans pied porteur au milieu.
Le plateau (8 x 2,8) se constitue de plusieurs couches: amortissement de bruit / plancher / liège sous les voies.
Le roulement repose sur:
   - un mixte de voies flexible: Pullman, Peco, Roco, Fleischmann
   - d'appareils de voies Fleischmann & Roco avec un zeste de Peco[/i]) pour accoucher de 4 circuits + une navette triage <-> dépôt.

Ces 4 circuits sont imbriqués, à la manière de 4 ovales (ou Os de chien): deux orientés traffic rapide, deux en services de messagerie.
L'entrée piéton dans le local s'effectue par un "Pontlevis" à trois voies: les deux circuits de messagerie se partagent la voie en circulation alternée.
La "navette" réunissant les deux extrémités du pont-levis est en U, circulation alternée, avec une gare de croisement au milieu: elle transporte ainsi le personnel entre le triage marchandise et le dépôt (Plaque Fleischmann).

Ces circuits ne sont pas exactement imbriqués car une gare de triage, une gare de transit, le dépôt, des voies masquées les scindent: l'objectif est le jeu.
Ces voies masquées le sont par un niveau +1 (gare terminale) & servent de tampons ... les rames voyageurs entrant/sortant en FIFO.

Evidement, la densité ferrée n'est pas réaliste mais l'objectif est bien de jouer.


Les voies rapides ont été qualifiées par une 231C60-saucisson traquant une rame Roco bonne rouleuse: je ne suis pas sûr qu'un TGV puisse la suivre.
Des éclisses furent à reprendre, des dévers s'imposèrent, des aiguilles durent se déplacer.
Les voies messageries restent à qualifier: la 150-Fleischmann traquant 4m de ouagons les voit se coucher en courbes au niveau des aiguilles.

Cela s'est construit .. doucement .. en vingt ans: 2000-2020  (une époque que les moins de 40 n'ont pas connu).

Justement ...  depuis cette époque, un feeder alimentation fait le tour du plateau (circulant dans un IPN) alors que le second IPN porte un câble 56 paires (histoire de séparer courants faibles / courants forts).
A cette époque ... l'exploitation était délibérément orientée 'analogique': la commande des motrices s'effectuant par commutateurs 16 crans (facile: un plot par Volt) en lien direct du transfo (16V / 1KW).
Dans les années 90s j'avais bien expérimenté un pilotage des locos en PWM avec asservissement par détection de la fem moteur: trop lié aux spécificités moteur, hélas.
Point de fusibles: ce sont des bobines de relais faisant fonction de vibreur qui se chargent de limiter le courant.
Seule la commande d'appareils de voies, des dételeurs, des éclairages avait été prévue en multiplexage.



2020 20 ans après  ....   

Une commande numérique des locos faciliterait grandement l'exploitation d'autant plus que certains décodeurs ont été ramenés à la dimension d'un timbre poste pour un coût à peine supérieur à 10€  (décodeurs LAIS possible ? en en commandant 200 d'un coup ??)
mais elle aurait à gérer gérer simultanément une quinzaine de motrices parmi 200.    Glupss.
=> Voilà comment j'ai connu votre site.


Si l'électronique m'est familière (Radioamateur, Pro dans la transmission Radio) la programmation me rebute  (= nécessaire apprentissage) mais après tout cela assouplira le cortex cérébral avant de devenir vieux-con.

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