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Messages - bobyAndCo

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Je peux regarder pour un ACS712 ou un cousin d ordre similaire à placer a coté de la détection RAILCOM.
Si je comprend l idée ses mesures permettraient de distinguer le passage de l'engin moteur sur une section mais aussi de déclencher des sécurités en cas de court circuit / dépassement de seuil ( Discussion que j avais eu avec Michel à l'expo de Gennevilliers en juin 2023)

D autres usages en vue?

Ltr

Bien sûr qu'une détection "locale" apporterait beaucoup. Certainement en termes de latence et de précision. Et puis pourquoi stopper tout le réseau pour un court-circuit "local". En cas de détection, l'état du canton est placé à "busy" pour tous les autres et aucun train ne peut s'engager dessus.

Oui j'ai l'intuition qu'il y aura d'autres usages et je suis intéressé de savoir ce que Michel en pense. La lecture analogique peut nous renseigner sur la nature de la consommation (locomotive > xxxmA, wagon < yyy mA) etc...

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J ai une question d'ordre fonctionnel:

Dans le réseau de démo sur la TJS:
Si nous avons un train en mouvement sur C5 vers A1 qui est déviée alors le bloc agira et lorsque la loco se présentera dans C5 sur le capteur ponctuel d entrée, le ralentissement va s'opérer jusqu' à l arrivée sur le capteur de "sortie" proche de A1 ou s arrêtera le convoi (machine en tête ou en queue)

Toutefois que se passe t il si un engin est détecté sur la TJS alors que
le train n'est pas encore dans C5: ici le train sur la TJS ( et surement en mouvement entre  C2 ou C0) sera détecté par le capteur RAILCOM de C5, ne va t on pas alors arrêter le mauvais convoi? ( puisque c est l adresse de ce train qui va être associée au canton C5 car FIFO? ( First IN dans le satellite)
le train est dans C5: on a alors un imbroglio pour la lecture de l adresse RAILCOM car 2 engins ne peuvent emmètre en  même temps ( tout cela est peut être très théorique mais me semble être des combinaisons plausibles d'enchainements de différents mouvements).
J ose en déduire qu' il faut donc en principe que le train dans C5 s'identifie avant qu'une possible détection émettant sur la TJS ne vienne placer son adresse dans le satellite.
ou bien que la solution peut reposer sur une détection de présence seule (par conso de courant)  et non railcom sur une aiguille en pointe?

Alors déjà, un mouvement de C5 vers A1 ne me dit rien. Tout d’abord, on ne sait toujours pas laquelle est A1 et laquelle est A3. Pierre a posé la question plusieurs fois mais je crois toujours sans réponse.

Alors, s’agit il de C5 vers C1 via A1 ou de C5 vers C0 via A1 (ou A3 ?) ?

Je vais donc faire une réponse globale qui de toutes les façons vaudra quel que soit le cas :

Deux possibilités : La TJS isole de façon interne et selon la position de ses aiguilles C5 de C0 (et donc C6) ou pas.

Dans le premier cas, il n’y a pas d’interférence dans la détection Railcom donc pas de problème. Dans le second cas, il faut isoler par exemple C5/C1 la TJS. Il n’y a pas besoin de détection Railcom dessus, juste une détection par consommation de courant pour savoir si elle est occupée ou libre. Détection qui sera assurée par le satellite sur C0 ou C6 (très certainement C0 d'ailleurs).

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Merci Michel aussi pour ta contribution. Voilà de nouvelles compétences ! Je précise que nous travaillons avec Michel à l'implémentation d'un protocole CAN au sein de LaBox pour la rendre elle aussi totalement intégrée à un réseau de satellites et de gestionnaire.

Blinder les câbles n'est une panacée : il faut gérer et éviter les boucles de masse.

Tu peux développer ?

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Une autre question plus d ordre implémentation à propos de la frequence d émission des messages que tu as mis sur 100 millis sec. ( 0.1 secondes)
Cette frequence parait très rapide de prime abord et on pourrait penser que 1/4 de seconde ( par exemple donc 0.25 secondes)  semblerait suffisant. Aussi pourquoi aller "aussi vite" dans l envoi des trames toutes les 100millis sec? N'émet t'on pas que ce qui as changé?

Qui peut le plus peut le moins. Cette fréquence est déjà celle des satellites V1. Si l'on peut fonctionner comme cela, c'est préférable. En effet, une détection ponctuelle par définition furtive peut "échapper".

J'ai fait le calcul que si le bus fonctionne à 1Mbps, que l'on a 25 satellites qui échangent des messages de 8 bytes de data avec un identifiant long de 29 bits, le bus était chargé tout au plus à 15-17 % de ses possibilités. Pourquoi se gêner !

C'est plus au niveau du récepteur que cela peut poser problème qui lui même peut "sauter des messages". Mais ce ne sera pas pire que de baisser la fréquence.

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Je l ai annoncé dans mon post précèdent je proposerai un new design pour la carte gérant les détections.

Personnellement je vois plutôt une implémentation du bus I2C pour la gestion des signaux que des 95HC... mais c est la une affaire de gouts :)
Cet usage pourrait être étendu aux commandes pour les servos ou des relais de commutation des pointes de cœur voir à des retours d info de capteurs externes via ce canal...
Les possibilités ne manquent pas et j ai déjà eu l occasion d en discuter avec Christophe qui rappelons le encore propose une solution novatrice et déjà éprouvée.
Le nombre d I/O sur l ESP 32 et leur utilisation rend l'utilisation du bus I2C comme une alternative à leur extension de façon simple.

Bonjour Laurent,

Tout d'abord, merci de t'impliquer comme tu le fais dans ce projet. Effectivement, les domaines où nous sommes respéctivement le plus à l'aise sont complémentaires et ça peut contribuer beaucoup à faire avancer ce projet.

Pour la mesure de courant sur chaque satellite ce serait un énorme plus de pouvoir intégrer un ACS-712 (ou autre). Je rappelle que c'est toi qui avait déjà émis l'idée il y a quelques temps. Si l'on avance dans cette direction, il faut aussi mettre Railcom sur la même carte ? Cela fait un peu de monde, mais malheureusement (et ça répond aussi à Dominique) c'est nécessaire. Nous souhaitons des solutions toujours plus performantes qui rendent les solutions complexes. On n'a pas tous ces problèmes quand on pilote à vue et a la mano !

Pour l'I2C, pourquoi pas. J'ai mis des 74HC595 pour la simplification. Sur les signaux, il faudra aussi une capacité de "décoder" l'I2C. Simplicité ? Cout ?

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Je comprends que la détection RailCom génère un signal relativement faible. Je suppose que les cartes doivent être proches de la voie.

@Dominique. Laurent répond bien à ta question. Moins on a de câbles sur le réseau et mieux c'est. Moins on a de longueur pour chaque câble et mieux. C'est l'un des énormes avantages des satellites où toute la rétrosignalisation et les commandes sont véhiculées dans un bus (CAN) très peu sensible aux interférences et qui plus est, dans le cas des satellites autonomes transitent dans du câble RJ45 torsadé et blindé.

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En ce qui concerne les capteurs ponctuels pour les points d’arrêt, j’ai aussi tout essayé et finalement j’ai retenu ceux-ci, optiques aussi mais simples et discrets, surtout pour l’échelle N.
Connectés à un satellite V1 ils envoient les messages Can (seulement quelques pins dans les satellites autonomes).

https://forum.locoduino.org/index.php?topic=290.msg12026#msg12026

Merci Dominique pour cette info.

Il faudra aussi qu'un jour on fasse un corpus des meilleurs solutions. Je n'hésite pas à avancer meilleures car nous les avons testées éprouvées alors autant en faire profiter d'autres plutôt que de les laisser galérer 

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@dmskd N'hésite pas à présenter ton réseau (ou ton projet). Où tu en es dans la construction. Si tu es intéressé par ce principe et j'essayerais de te donner les meilleurs renseignements.

Eventuellement aussi d'autres conseils comme pour le câblage pour éviter des erreurs.

Christophe

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On n'est pas timides, mais c'est du haut niveau !

Merci de plonger dans le bain ! Non ce n'est pas du haut niveau. C'est nouveau, assez différents dans les concepts des approches "classiques" mais facile à appréhender. Posez toutes les questions que vous voulez, aucune n'est idiote et mettra en avant un manque de précision de mon côté que je m'empresserai de corriger pour les autres. Donc tu vois, en plus tu feras une BA.

Comment installes-tu ces capteurs ? Sous la voie ? Sous la plateforme ?
Tu es en HO ?

Oui je suis en HO, mon plateau fait 6mm d'épaisseur, je positionne sous le plateau.

Question suivante   :D

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Présentation du programme.

Pour découvrir le programme commençons par un rapide survol global.

Voici la liste des différents fichiers dans lesquels sont réparties les différentes parties du programme.


Le cœur du programme est contenu dans les fichiers Node.h et Node.cpp. J’ai choisi Node (nœud en français) car le satellite autonome est avant tout un nœud dans une chaine, un ensemble d’autres satellites avec lesquels il échange et collabore.

Node est un peu le « cœur de satellite ». Les membres de la classe Node représentent "en logiciel" les objets physique du canton. Ce même fichier contient une autre classe NodePeriph qui elle "symbolise" de manière épurée les satellites "voisins". L'instance de la classe Node initialise huit instances de la classe NodePeriph, nombre maximal de satellites "voisins" possible dans cette version.

Les fichiers Aig, Loco, Sensor, Signal sont les éléments logiciels qui figurent ces objets physiques et les méthodes, les actions de ces objets physiques.

Railcom est à rapprocher de ces fichiers en ce sens qu’il apporte des informations sur l’éventuelle présence d’une locomotive sur le canton en nous précisant l’adresse de cette locomotive.

Settings contient tout ce qui est nécessaire au paramétrage du satellite. C’est par l’intermédiaire des fonctions contenues dans ce fichier que l’on lit ou que l'on sauvegarde le fichier json où sont regroupées les données de paramétrage.

Discovery contient tous les éléments logiciels qui permettent le processus de découverte présenté précédemment. Discovery est activé par défaut au premier lancement de la carte satellite. Une fois la configuration globale réalisée, on doit désactiver le mode Discovery pour activer GestionReseau qui maintenant restera activé en permanence jusqu’à ce que l’on active à nouveau Discovery pour une extension par exemple.

GestionReseau contient toutes les fonctions qui vont analyser tous les messages CAN reçus par le satellite. Je rappelle que chaque satellite envoie toutes les 100 milli secondes environ les principales données le concernant : présence d’une locomotive et adresse de cette locomotive, position de ses aiguille, cantons à partir desquels il est possible d’accéder.

Nous verrons plus tard en détail comment chaque satellite traite les données reçues des autres pour adapter son propre comportement.

Enfin, le fichier main.cpp qui correspond au fichier « .ino » sous l’IDE Arduino. C’est le premier fichier appelé au lancement du microcontrôleur. On y trouve principalement les instances des objets logiciels et aussi l’activation des méthodes de ces différents objets logiciels.

Je ne m’attarderai pas sur les fichiers Wifi, WebHandler, Config et même Can qui ne sont que des programmes « utilitaires » permettant le fonctionnement de l’ensemble.

Voilà pour la présentation globale des fichiers du programme. Nous verrons dans les postes suivants le fonctionnement détaillé des principaux d’entre eux.

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Pas de soucis

Peux tu nous parler des capteurs ponctuels que tu utilises ( ref, type, mise en œuvre)? ( et comme tu les as testé les écueils desquels il faut se prémunir...)

Ltr

Les capteurs ponctuels à infra rouge que j’ai retenus.

Comme beaucoup sans doute, j’ai essayé plein de choses. Les capteurs à effets Hall ont eu longtemps ma préférence, ils sont discrets, économiques et très fiables. Leur principal inconvénient est qu’il faut fixer un aimant sous la loco et parfois cela pose des problèmes. Et puis, certains finissent par se décrocher provoquant parfois des dégâts.

J’ai découvert les TCRT5000 (seuls) il y a déjà un petit moment, je les ai testés dans différentes configurations. Ca fonctionnait bien mais c’était très délicats de trouver le bon réglage.

Et puis j’ai testé des modules chinois tout assemblés qui me coutaient moins cher que le seul TCRT5000, très simples à régler avec la résistance variable et surtout très fiables.



Voici un exemple sur Ali à 1,07€ : https://fr.aliexpress.com/item/32703689686.html

J’en suis vraiment très content et je n’ai depuis plus aucun problème. Ceux-ci fonctionnent à une fréquence (38 Khz je crois) qui les rend vraiment insensibles aux éclairages extérieurs communs (lumière du jour, ampoules...).

Je recommande de placer à l’avant de la locomotive un petit papier blanc autocollant qui accélère considérablement la vitesse de détection.

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@Laurent,

Comme je te l'ai déjà dit, toutes ces interrogations et cogitations sont intéressante mais ne doivent pas être traitées ici. Le but de ce fil est de présenter le concept et surtout sa mise en œuvre "simple" pour un public peu ou pas expérimenté.

Il est certains que ce concept poussé plus avant doit permettre des choses assez puissantes mais c'est vraiment un autre sujet (un autre fil pourquoi pas ?). Et comme je te le disais également, je dois rester concentré sur celui-ci pour faire fonctionner cette première étape à coup sûr avant d'aller plus loin.

Christophe

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Bonjour Laurent et merci pour ces questions. Je commençais à me demander si cela intéressait quelqu’un !

1 le capteur ponctuel en entrée de canton joue t il immédiatement un rôle ( circulation de droite à gauche )ou son rôle de borne t il uniquement à donner l’ordre final d arrêt dans le sens de circulation vers la fin d un canton? ( send de circulation de gauche a droite )

Oui les capteurs ponctuels jouent immédiatement un rôle et même plusieurs.

Le premier rôle est de renseigner sur le sens de roulage du train sur le réseau (vers horaire ou vers anti horaire). En effet, même Railcom ne donne pas cette info. Railcom peut nous dire que la locomotive va en avant ou en arrière. Mais si la locomotive est inversée sur les rails ? Donc, le premier capteur ponctuel activé nous renseigne de manière certaine par quel côté entre le train.

Ensuite, comme tu le précises, s’il doit y avoir ralentissement puis arrêt de la locomotive, c’est le passage sur le premier capteur qui provoquera le ralentissement et le passage sur le second qui activera l’arrêt.

Cela permet d’avoir le même équipement pour une voie qui serait à double sens de circulation. Les capteur joueront un rôle inverse.

2 le capteur railcom: tel que place sans coupure la détection se fait sur l ensemble du canton
Ici entre cote droit par une coupure sur chaque rail et côté aiguillage qui appartient au canton juste après chaque branche sur chacun des rails.

Tout d’abord, pour la détection Railcom avec les cartes ici proposées nécessite d’isoler les deux rails. Ce qui, sur le petit schéma proposé veut dire deux isolations à droite et quatre à gauche (sur chacun des rails de l’aiguille).

Est-ce que la coupure est juste après l’aiguille ? La règle est celle du cantonnement qui veut que la zone de cantonnement soit suffisante pour accueillir un convoi dans son ensemble. Si donc l’espace après la première aiguille n’est pas suffisant pour cela, on va reculer la position de la coupure jusqu’à (proximité d') une nouvelle zone de cantonnement.

Pour le capteur de consommation, j’ai précisé son intérêt qui est effectivement de mesurer sur l’ensemble de la zone qu’il n’y a pas quelque chose de présent et qui consomme du courant (locomotive, wagon avec essieu et résistance, wagon avec éclairage intérieur et/ou fin de convoi…). Avec Railcom, si la locomotive est sortie de la zone, plus de détection alors que des wagon peuvent encore y être !

Je profite pour revenir sur une idée que tu avais émise un jour et que je trouve intéressant de reprendre ici, à savoir une mesure de courant décentralisée et sur chaque canton. Il y a de multiples avantages :

Fiabilité de la détection et rapidité de la coupure locale (et non globale)… Mais aussi, la valeur retournée dans ce cas est significative, est-ce plutôt une locomotive ou simplement un wagon.

Je serai très intéressé que tu m’aide à implanter une telle lecture de courant sur une carte satellite autonome.

Si à défaut de capteur ponctuel par infra rouge on décide de mettre localement des capteurs par détection de courant comment allons-nous procéder!?

Il ne faut pas le faire à mon sens et ce que je dis précédemment le démontre bien je crois.

Pour la suite de tes questions/suggestions, tu m’excuseras mais je ne comprends pas ce que tu veux dire !!!

Christophe

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Nous allons maintenant nous intéresser ici à l’équipement qu’il faut positionner sur chacun des cantons. Je précise que ces équipements ne sont pas très différents de ce que l’on rencontre sur n’importe quel réseau.



Je ne fais ici la représentation que d’un seul type de canton car cela est absolument identique pour tous les cantons hormis les servos dont le nombre dépendra du nombre d’aiguilles.

- Une carte satellite ici en violet. Je rappelle qu’il n’y a qu’un seul type de cartes satellites et que les programmes sont identiques pour toutes les cartes.

- Une carte de détection Railcom® qui va nous apporter deux informations, l’occupation ou non du canton par une locomotive et surtout, l’adresse de cette locomotive qui va par exemple nous permettre d’envoyer des commandes à la centrale DCC comme un ordre de ralentissement ou un ordre d’arrêt.

- Deux capteurs ponctuels (ici des capteurs infra rouge) placés judicieusement à bonne distance des extrémités de canton ou d’appareils de voie de telle manière à ce que les distances d’arrêt soient suffisantes et aussi une zone de cantonnement suffisante pour contenir la totalité d’un convoi.

- Un signal lumineux et éventuellement un second à l’autre extrémité si votre canton est à double sens de circulation.

- Autant de servomoteurs que d’aiguilles (maximum quatre dans cette version)

- Enfin, un capteur par consommation de courant. Celui-ci n’est pas obligatoire car Railcom® assure déjà la détection de la locomotive. Mais la locomotive peut être déjà sortie du canton (donc plus détectée par Railcom®) sans que pour autant la totalité du train ait libéré le canton. Si vous gérez manuellement vos locomotives, c’est acceptable, mais si vous souhaitez vous reposer sur des automatismes, il faudra détecter en plus la consommation de courant résultant par exemple d’une résistance placée sur le dernier essieu du convoi.

Il vous reste à équiper l’ensemble de votre réseau de manière identique.

Si vous avez suivi le déroulement de ce fil, vos programmes sont déjà téléchargés dans les satellites. Il nous faut faire un dernier passage par l’interface web qui permet de régler chaque satellite individuellement. Nous avons vu le réglage des buttées de servomoteurs, vous avez pu tester le déplacement de vos aiguilles et constaté que les contacts avec le rail principal étaient assez fermes.



Vous allez donc décocher le mode wifi (vous n’en avez plus besoin) et le mode Discovery. Cette désactivation va avoir pour effet de redémarrer l’ESP32 en désactivant tout le code du mode Discovery, économiser ainsi de l’espace en mémoire et des performances de calcul et redémarrer en mode exploitation !

N’oubliez d’installer pas la centrale DCC compatible Railcom® que vous pouvez télécharger ici : https://github.com/BOBILLEChristophe/DCCxx-ESP32-Railcom
La centrale DCC est au protocole DCC++ et donc pilotable avec tous les logiciels compatibles. Vous pouvez installer ce logiciel sur LaBox de Locoduino dont nous avons beaucoup parlé dernièrement. Vous trouverez ici des informations à ce sujet : https://www.locoduino.org/spip.php?article334

En bonus une petite vidéo :



La 231 G libère le premier canton mais stationne sur le suivant. Du coup, la petite 030 va ralentir au moment de son passage sur le premier capteur, puis s'arreter au passage sur le second capteur. La vidéo n'est pas parfaite mais en faisant attention vous verrez le changement des leds de signalisation que j'ai soudées directement à la carte. Je précise que c'est réalisé sans trucage !!!

Ca y est, cette fois, vous pouvez jouer au train en toute sécurité et en toute sérénité.

Nous en avons terminé avec l’installation et c’est sans doute le bon moment pour répondre à toutes les questions que vous pourriez avoir.

Dans les postes à suivre, j’expliquerai le contenu des programmes mais je vous rassure, il n’est absolument pas nécessaire de lire ce qui va suivre. Cela est surtout destiné à ceux qui souhaitent comprendre le fonctionnement du programme.

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cela joue directement sur la polarisation de la pointe de cœur via un éventuel relais de commutation

Là c'est le must ! Pour la continuité électrique et aussi parce que le relais de commutation permet, en récupérant l'état, de s'assurer que la commande a bien été exécutée. Ce n'est pas une commande "aveugle" et on a bien un accusé de réception de l'exécution.

Je n'ai pas vu dans le commerce ce type de support. En DIY, Jean-Luc en avait fait des sympas n impression 3D. Peut-être s'il nous lit accepterait-il de publier les STL ?

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