Bonne analyse :
Par example Geoff Bunza semble adhérer au concept de multiples bus DCC; un bus à travers les rails pour les loco's, des bus pour les aiguillages et autres (dont il propose un décodeur statique de fonctions qui peux controller des servos, etc..).
Ou l'approche C/MRI: bus RS485, quand-même éprouvé robuste et industriel..
Ou l'approche CAN ou ses frères (OpenLCB, CBUS)
Tout les autres: https://www.jmri.org/help/en/webtoc.shtml
Un tableau de comparaison en fonction de type et dimension de layout?
Moi en ce moment je ne vois pas la forêt à travers les arbres.
C’est vrai qu’il y a de quoi hésiter, ce qui fait que la plupart des modélistes succombent dans les technos des constructeurs de centrales : DCC à tout faire.
J’avais déjà suggéré en 2015 d’utiliser plusieurs bus car le DCC a des limites : voir cet article
http://www.locoduino.org/spip.php?article58 puis sa mise en pratique :
http://www.locoduino.org/spip.php?article153.
Cela dit, Msport a raison pour un petit réseau, mais ça coûte cher quand il y a beaucoup d’appareils de voie.
A cette époque je ne connaissais pas tous les autres bus et je rechignais à explorer les solutions plus ou moins onéreuses et m’y laisser enfermer. Jean-Luc m’a présenté le Can qui m’a convaincu d’emblée. Depuis je le confirme sans arrêt que ce fut un bon choix. Avec les satellites on a une architecture idéale
(
http://www.locoduino.org/spip.php?article242).
Mais il faudra du temps pour tout définir et en faciliter l’accès à tous.
Un élément essentiel dans le réseau est le « chef de gare » (nom judicieusement donné par Marc-Henri), qui me semble plus parlant que « gestionnaire ».
JMRI en est un (et bien plus) comme RockRail et d’autres plus commerciaux, donc encore une zone de forte hésitation et d’investissement en temps
Je pense toujours qu’on doit pouvoir le faire soi-même, mais ce n’est pas facile d’éviter l’usine à gaz !