On parle de la Puce NTAG213 : Ces Puces ont une mémoire disponible toujours assez faible, mais plus que suffisante pour un lien ou un texte court. Le NTAG213 dispose de 144 bytes.
L'exemple de sketch pour reprogrammer un tag se trouve ici :
https://github.com/miguelbalboa/rfid/blob/master/examples/ChangeUID/ChangeUID.inola nouvelle valeur à donner au tag est ligne 35 :
#define NEW_UID {0xDE, 0xAD, 0xBE, 0xEF}
Attention toute fois, il s'agit de la version SPI du lecteur et il faudra adapter ce sketch dans le cas d'une version I2C comme Marcel.
Il est assez facile d'ajouter une boucle au programme pour re-programer plusieurs tags "à la volée" car sinon, il est tout de même fastidieux de devoir changer à chaque fois la valeur du tag et relancer le programme.
On peut donc très certainement envisager que dans un contexte de satellites, seuls 2 octets du tag puissent être envoyé sur le bus CAN ce qui suffira largement même dans le cas d'un nombre important de locomotives. Cela correspond à 65 000 tags !
Dès l'ors, ça m'aurait arrangé si l'on pouvait convenir d'une structure de message pour que je puisse tout de suite adopter cette convention ?
On doit sans doute reprendre un identifiant de type 0x10, ... 0x1F mais ensuite, est-ce le bits 3 de l'octet 1 qui indique que le lecteur est actif ou non ? (0 ou 1) ? Et est-ce que les valeurs du tags sont stockées dans l'octet 2 et l'octet 3 ?