Ok ok
Sur le principe c'est ce qui est expliqué par exemple là :
http://amfn.nice.free.fr/alim.htmDonc je coupe l'alim du moteur, j'attends éventuellement un pouillème, puis je mesure la tension résiduelle sur le rail, issue du moteur qui continue à tourner par inertie mécanique, agissant alors comme un générateur.
Je vais tâcher de commencer par observer le phénomène à l'oscillo, pour bien visualiser à quoi j'ai à faire.
Pour mesurer la tension résiduelle, est-ce que ça peut être aussi simple que de passer par un diviseur de tension et des analogread() de l'arduino?
Voire éventuellement de passer directement par les registres de l'atmega pour des lectures plus rapides?
NB : avec ce montage de hachage de tension, j'ai un rail qui reste à 12V, l'autre qui est haché à GND. C'est celui-là qui m'intéresse.
Lorsque le MOSFET est non passant, le rail est "en l'air" (au bémol près de la diode roue libre et du moteur de l'éventuelle loco présente sur la voie).
Je pense ajouter un diviseur de tension entre ce rail et GND, avec par exemple des résistances de 30k et 10k
Je m'attends donc à faire des mesures à l'envers, avec une tension résiduelle qui remonte vers 12V lorsque le moteur ralentit.
Et accessoirement la même lecture de tension (toujours hors alim) devrait me permettre de détecter l'occupation de voie, même avec une loco à l'arrêt. Car en l'absence de loco sur la voie, le rail est vraiment "en l'air" et le diviseur de tension va faire office de pull down. Donc tension à 0V => voie libre. Tension à 12V => voie occupée avec loco à l'arrêt.
Me gourre-je?