Bonsoir,
Me voici, en recherche d'un pilote pour mes motrices.
Vieux ferrovipathe HO (depuis presque 60a), multicarte (> 15 constructeurs, d'Antal à VB)
Jeune aussi nouveau en CDI (Congé à Durée Indéterminé),
avec beaucoup de matériels accumulés à différentes époques: le champignon '80' s'est imposé ... et encore: les essieux des 'vieux' sont à rectifier.
Le plateau du réseau est porté par deux paires d'IPN rallongés à 8m (pas facile à souder) .. mais quel pied .. sans pied porteur au milieu.
Le plateau (8 x 2,8) se constitue de plusieurs couches: amortissement de bruit / plancher / liège sous les voies.
Le roulement repose sur:
- un mixte de voies flexible: Pullman, Peco, Roco, Fleischmann
- d'appareils de voies Fleischmann & Roco avec un zeste de Peco[/i]) pour accoucher de 4 circuits + une navette triage <-> dépôt.
Ces 4 circuits sont imbriqués, à la manière de 4 ovales (ou Os de chien): deux orientés traffic rapide, deux en services de messagerie.
L'entrée piéton dans le local s'effectue par un "Pontlevis" à trois voies: les deux circuits de messagerie se partagent la voie en circulation alternée.
La "navette" réunissant les deux extrémités du pont-levis est en U, circulation alternée, avec une gare de croisement au milieu: elle transporte ainsi le personnel entre le triage marchandise et le dépôt (Plaque Fleischmann).
Ces circuits ne sont pas exactement imbriqués car une gare de triage, une gare de transit, le dépôt, des voies masquées les scindent: l'objectif est le jeu.
Ces voies masquées le sont par un niveau +1 (gare terminale) & servent de tampons ... les rames voyageurs entrant/sortant en FIFO.
Evidement, la densité ferrée n'est pas réaliste mais l'objectif est bien de jouer.
Les voies rapides ont été qualifiées par une 231C60-saucisson traquant une rame Roco bonne rouleuse: je ne suis pas sûr qu'un TGV puisse la suivre.
Des éclisses furent à reprendre, des dévers s'imposèrent, des aiguilles durent se déplacer.
Les voies messageries restent à qualifier: la 150-Fleischmann traquant 4m de ouagons les voit se coucher en courbes au niveau des aiguilles.
Cela s'est construit .. doucement .. en vingt ans: 2000-2020 (une époque que les moins de 40 n'ont pas connu).
Justement ... depuis cette époque, un feeder alimentation fait le tour du plateau (circulant dans un IPN) alors que le second IPN porte un câble 56 paires (histoire de séparer courants faibles / courants forts).
A cette époque ... l'exploitation était délibérément orientée 'analogique': la commande des motrices s'effectuant par commutateurs 16 crans (facile: un plot par Volt) en lien direct du transfo (16V / 1KW).
Dans les années 90s j'avais bien expérimenté un pilotage des locos en PWM avec asservissement par détection de la fem moteur: trop lié aux spécificités moteur, hélas.
Point de fusibles: ce sont des bobines de relais faisant fonction de vibreur qui se chargent de limiter le courant.
Seule la commande d'appareils de voies, des dételeurs, des éclairages avait été prévue en multiplexage.
2020 20 ans après ....
Une commande numérique des locos faciliterait grandement l'exploitation d'autant plus que certains décodeurs ont été ramenés à la dimension d'un timbre poste pour un coût à peine supérieur à 10€ (décodeurs LAIS possible ? en en commandant 200 d'un coup ??)
mais elle aurait à gérer gérer simultanément une quinzaine de motrices parmi 200. Glupss.
=> Voilà comment j'ai connu votre site.
Si l'électronique m'est familière (Radioamateur, Pro dans la transmission Radio) la programmation me rebute (= nécessaire apprentissage) mais après tout cela assouplira le cortex cérébral avant de devenir vieux-con.