Tu as parfaitement raison. Et, donc, des essieux graphités.
Par exemple :
http://cdmrail.free.fr/SiteCDR0/spip.php?article30La chute de tension n'est pas un problème, il suffit de mettre une alim de tension plus élevée.
Oui et non.
Oui si on construit soi-même le booster. On fait ce qu'on veut.
Non si on a récupéré (ou qu'on a déjà) un booster.
Ceci dit, il reste de la marge et on ne perd pas tellement de courant.
Le vrai problème concernant la sensibilité, c'est l'encrassement des rails et des roues.
Le DCC est, par nature, meilleur que l'analogique pour ce critère, à cause de l'inversion de courant dans la voie très fréquente. Mais rien n'est parfait.
Remarques concernant le gestionnaire (quel qu'il soit) :
1°) on détecte la présence sur une zone, mais sans savoir où est le train dedans.
Par contre, si on fait circuler des trains virtuels sur le TCO, il faut qu'ils soient synchrones avec les vrais trains sur le réseau.
Et, donc, on ne peut synchroniser qu'au passage de deux seuils :
- rien -> détection d'occupation
- détection d'occupation -> rien.
Ce qui suppose de pouvoir accélérer momentanément un train virtuel s'il est en retard sur le train réel et de le ralentir s'il est en avance sur le train réel.
Le tout de manière aussi peu visible que possible. C'est loin d'être évident.
A noter que tout condensateur pour éliminer les "trous" dans la conductivité dus aux mauvais contacts décale l'information d'occupation/dé-occupation, ce qui n'arrange rien
2°) Cela suppose aussi d'avoir rentré quelque part la longueur vraie de la zone réelle et d'avoir calculé la longueur de la zone virtuelle (ou le ratio, zone par zone).
En effet, le ratio est différent d'une zone à l'autre.
3°) Cela suppose enfin qu'on ait, pour chaque train, un tableau donnant la vitesse vraie du train et le cran de vitesse.
Un énorme travail...